JAC Avocat, spécialisé en droit de la réparation du dommage corporel

JAC AVOCATS

Être à vos côtés sur le chemin de votre restauration et vous défendre en justice grâce à la richesse de nos compétences et notre humanité.

Maitre Claire Beluze, spécialisée dans le droit des victimes de dommages corporels

Maître Claire BELUZE

Avocate au Barreau de Lyon depuis 1999, spécialisée en droit du dommage corporel.

« La défense des victimes, une priorité »

Si Maître Claire Beluze s’est spécialisée dans le droit des victimes de dommages corporels, cela ne relève pas du hasard. Le choix de sa profession a toujours été guidé par la volonté d’aider les autres.

L’idée de suivre des études de droit a très vite germé dans l’esprit de Claire Beluze. « A 12 ans je voulais être juge pour enfants ». Mais au final ce n’est pas la carrière de magistrat qu’elle a embrassée.« Lors de stages j’ai assisté aux plaidoiries d’avocats et ça a été une évidence. J’avais cette envie de prendre parti pour une cause ».

Au cours de ses études, Claire Beluze a été confrontée à un événement qui a certainement orienté le cours de sa carrière : « mon frère, alors qu’il était adolescent a été victime d’un accident de la circulation. Mes parents ont rencontré d’importantes difficultés avec la compagnie d’assurance. Cela m’a sensibilisé à la problématique et à l’importance d’être défendu ».

Une fois diplômée et devenue avocate, Claire Beluze a débuté comme avocate généraliste, notamment en droit de la famille et des mineurs. Cette première expérience lui a donné l’occasion de « faire ses armes » : conclure, plaider, accompagner des justiciables. Sa carrière a pris ensuite un tournant décisif à l’occasion d’une rencontre avec Henri Gianoli qui dirigeait un cabinet de réparation des dommages corporels. « J’ai su immédiatement que c’était exactement ce que je voulais faire. En 2009, j’ai transformé sa structure en cabinet d’avocats spécialisé dans l’aide aux victimes et nous avons travaillé 12 années ensemble ».

« Le plus beau métier du monde »

Intervenir dans le domaine des dommages corporels s’est inscrit comme une évidence dans le parcours de Claire Beluze. « Dès mes études je m’étais déjà orientée dans cette voie avec un troisième cycle en droit des assurances. Mon sujet de mémoire portait sur la responsabilité médicale. » Plus tard, elle a passé un diplôme universitaire (DU) en réparation du dommage corporel. « Cela m’a permis de mieux comprendre les mécanismes de l’expertise et de gagner en légitimité ».

Ce qui passionne Claire Beluze c’est le sens qu’elle donne à son travail :
« J’aurais pu travailler au sein d’une compagnie d’assurance mais je suis vraiment à ma place du côté des victimes. Les journées sont longues et intenses, notre activité exigeante mais le soir, une fois refermée la porte du cabinet, je me dis souvent que je fais le plus beau métier du monde ».

Claire Beluze souligne : « chacun pouvant être frappé par un accident, je côtoie tous les âges, toutes les classes sociales, cela rend cette matière passionnante et vivante. J’apprécie les échanges sincères avec les personnes les plus durement éprouvées. Nous parlons du sens de nos vies et souvent un lien subsiste dans le temps ».

Claire Beluze souligne que la force du cabinet JAC réside dans la solidité et la performance de toute une équipe « J’ai la chance d’être entourée de collaborateurs formidables, fortement impliqués, qui partagent les valeurs humaines du cabinet. »

Maître Marie Loisel - Avocate droit du dommage corporel

Maître Marie LOISEL

Avocate au Barreau de Lyon depuis 2013, spécialisée en droit du dommage corporel.

« Le bouclier et le glaive »

Pour Marie Loisel le métier d’avocat ne pouvait pas se concevoir sans prendre la défense des victimes. Au sein du cabinet elle s’occupe principalement d’accompagner ces victimes en cas de procédure judiciaire. Un rôle qui lui tient particulièrement à cœur.

Pour Marie Loisel le métier d’avocat ne pouvait pas se concevoir sans prendre la défense des victimes. Au sein du cabinet elle s’occupe principalement d’accompagner ces victimes en cas de procédure judiciaire. Un rôle qui lui tient particulièrement à cœur.

Étant encore enfant Marie Loisel se rêvait un destin de super-héroïne. Elle se demandait alors quel pourrait bien être son super pouvoir. Et c’est finalement au cours de ses études de droit qu’elle a fini par le découvrir. « L’idée de devenir avocate s’est imposée. Je me suis rendue compte que l’on pouvait mettre ses compétences professionnelles au service d’une juste cause : le respect de la dignité humaine après la survenance d’un traumatisme ».

Défendre les victimes d’accidents, voilà bien la définition d’une juste cause. Au cours de ses études Marie Loisel approfondit cet aspect du droit, notamment lors de la rédaction d’un mémoire sur la faute de la victime puis lors d’un stage à l’Institut médico-légal de Lyon. Devenue avocate en 2013 c’est donc fort logiquement qu’elle rejoint Maître Claire Beluze au sein du cabinet JAC. « J’ai eu un coup de cœur pour la dynamique de travail qu’elle me proposait. ».

« Le bouclier et le glaive »

Une dynamique de travail qui consiste notamment à plaider devant les tribunaux lorsqu’un procès est inévitable. Ainsi, d’une certaine façon sa robe d’avocate devient un peu le costume dont elle rêvait enfant. « Lors des audiences je me considère comme le bouclier et le glaive des victimes que nous défendons. Je suis là pour les préparer les accompagner et les protéger face aux affres de la procédure. »

« Plaider et défendre ce qui est juste »

Marie Loisel met alors toute sa passion aux services de ces personnes fragilisées par un traumatisme. « Je dois m’imprégner de la singularité des victimes que je représente afin de plaider pour eux et porter leur parole et celle de leurs familles. Un plaidoyer devant une Cour, c’est avant tout la rencontre d’une victime et se mettre à son service en toute humilité ».

« Être une étoile sur le chemin de restauration des victimes »

Maître Garance BARTH - Avocate en droit de la santé

Maître Garance BARTH

Avocate au Barreau de Lyon depuis 2017, titulaire d’un Master 2 en droit de la santé.

« La force et l’intelligence de la négociation »

Au sein du cabinet JAC, Maître Garance Barth, avocate collaboratrice, assure spécifiquement les négociations indemnitaires avec les compagnies d’assurance, afin d’obtenir la réparation financière la plus juste des préjudices des victimes. Il s’agit là d’une volonté de prendre soin d’elles, qui donne du sens à son métier.

Au sein du cabinet JAC, Maître Garance Barth, avocate collaboratrice, assure spécifiquement les négociations indemnitaires avec les compagnies d’assurance, afin d’obtenir la réparation financière la plus juste des préjudices des victimes. Il s’agit là d’une volonté de prendre soin d’elles, qui donne du sens à son métier.

Le dommage corporel, une évidence liée à son histoire familiale

Alors que Garance Barth s’apprêtait au moment du baccalauréat à engager des études scientifiques, elle a fait une rencontre déterminante. Cet échange avec une avocate en droit de la famille a été révélateur. Elle a donc entamé des études de droit, alliant à la fois rigueur mathématique et humanité.

Elle s’est ensuite rapidement intéressée en licence au dommage corporel : « Là encore, il s’agit d’une rencontre, cette fois-ci avec l’avocat défendant les intérêts de ma mère à la suite d’un grave accident médical. » Garance Barth accompagne cette dernière à chaque rendez-vous, met le dossier en ordre, se plonge dans les rapports d’expertise et finit par solliciter un stage au sein de cette structure. Ce qui ne devait être qu’une découverte d’un mois dura finalement deux ans.

Cette expérience a été extrêmement formatrice et complémentaire de ses acquis universitaires : « En parallèle de mes études de droit, j’ai appris à écouter. J’ai compris que les personnes qui poussent la porte d’un cabinet de réparation du dommage corporel ont besoin d’être reconnues dans leur statut de victime. La vie les a privées de leur intégrité physique, elles sont blessées et vulnérables. Nous les assistons et les représentons alors pour faire en sorte que le système leur accorde des indemnités à la mesure de leur préjudice. Ce n’est en réalité qu’à partir de là que leur reconstruction intérieure devient possible. »

Par la suite, Garance Barth a pu, au cours de diverses missions, collaborer au sein de la CCI, des Hospices Civils de Lyon et des services du Procureur de la République, diversifiant ainsi son approche du milieu.

Une expérience au sein du secteur assurantiel, au service de l’indemnisation des victimes

Diplômée en 2017, elle met volontairement dans un premier temps ses compétences au service de deux cabinets d’avocats d’assureurs : « En effet, je ne pouvais imaginer me spécialiser dans ce domaine sans avoir eu au moins une expérience au service des intérêts adverses, afin d’appréhender le fonctionnement du milieu de l’assurance. Ce fut passionnant : j’ai découvert un monde loin de l’image que l’on s’en fait, et appris les spécificités propres à chaque compagnie. Je connais désormais mes interlocuteurs et sait comment négocier au mieux avec eux. »

Après quelques années et un début d’exercice riche, elle cherche finalement à réintégrer un cabinet de victimes, aux valeurs fortes. Elle rejoint alors en 2021 l’équipe JAC, qu’elle avait connue précédemment au cours de ses études et l’avait marquée par sa bienveillance et sa compétence.

Aujourd’hui, Maître Garance Barth assure un rôle assez technique au sein du cabinet relatif à la liquidation indemnitaire, à la fois amiable et judiciaire. Pour autant, cela reste très humain : « Mon travail permet d’aider les victimes dans une période éminemment difficile de leur existence. Cela rend notre métier passionnant et me procure un profond sentiment d’utilité sociale. »

Adeline DUPONT PALLUEL - Psychologue en victimologie

Adeline DUPONT-PALLUEL

Psychologue-victimologue

« Accueillir la parole des victimes qui peine à se former »

Lors d’un accident, la prise en compte des dommages corporels ne peut se faire sans considération de la souffrance psychique : les deux étant intimement liés.

Retrouver la psychologue, Adeline Dupont-Palluel au sein d’un cabinet d’avocats spécialisé dans le dommage corporel ne tient peut-être pas seulement du hasard. « J’ai très tôt été en questionnement sur ce que la vie et les épreuves pouvaient inscrire sur les corps, comme empreintes, comme fêlures. Je me demandais, enfant, comment nous nous redéfinitions au cours de nos existences en fonction des évènements et des traumatismes traversés, mais aussi quels étaient la place et le chemin de cette souffrance. »

Tout juste diplômée, Monsieur Henri Gianoli l’invite à rejoindre sa structure. Le pari pouvait sembler un peu fou mais les années n’ont fait que confirmer cet atout complémentaire dans l’offre d’intervention de JAC.

« Le rôle d’une psychologue au cœur de la préparation aux expertises médicales »

Accueillir la parole des victimes qui peine à se former, les accompagner lors des préparations à expertise afin de les aider à mettre en mots leurs émotions et décompter leurs pertes représente l’une de ses missions principales. « Leur accorder ce temps de parole et d’échange, leur expliquer les modalités et les enjeux des expertises médicales et leur permettre d’apporter de la clarté à leurs doléances, me semblent structurant pour chacune des parties. Je prends soin de ne donner aucune orientation à leur parole. Je facilite et accélère simplement le processus de mise en mots et de structuration de la pensée afin que leurs doléances s’adaptent au format de l’expertise. Il me semble que si à ce stade d’évaluation de leurs séquelles physiques et psychiques, ils ne sont pas entendus et reconnus dans leur souffrance, le sentiment d’injustice persiste. »

« Une psychologue en veille »

Rester présente et à l’écoute des victimes au fil de leur processus d’indemnisation lui permet par ailleurs d’intervenir rapidement en cas de débordements émotionnels. « Il est aussi question de pouvoir apporter un soutien là où des états émotionnels ou situations aimeraient dans l’idéal, s’apaiser et se fluidifier, sans délai. »

Pauline LAURISSON - Assistante en dommage corporel

Pauline LAURISSON

Assistante en dommage corporel

« Apporter de l’humanité là où l’accident a pu la mettre à mal »

Pauline intervient avec patience et douceur depuis bientôt 12 ans auprès des victimes pour accueillir leurs demandes et les tenir informées de l’évolution de leur dossier.

Son activité au sein du Cabinet JAC est centrale dans le suivi de l’ensemble des affaires et judiciaires en cours.

Son expérience lui permet de travailler en autonomie et d’assister les avocates sur la partie judiciaire.

« Prendre soins des autres » est une mission qui a émergé très tôt. Plus jeune, elle espérait pouvoir travailler dans le domaine paramédical. « J’ai été touchée par les patients rencontrés dans le centre de rééducation dans lequel j’ai travaillé quelques mois et cette expérience a confirmé mon aptitude et mon désir de travailler dans la relation d’aide ».

Après un changement d’orientation professionnelle et un BTS Assistant Manager lui permettant de consolider ses compétences administratives et relationnelles, elle rejoint l’équipe JAC en 2011. Pauline aiguise alors son sens de l’organisation et sa mémoire.

« Le premier contact avec les victimes »

« JAC n’est pas un Cabinet d’avocats « classique » ; il offre une plus grande proximité avec les clients. Je travaille en binôme avec Adeline Dupont-Palluel, nous sommes le premier contact avec les victimes. Puis nous suivons les dossiers, en interaction avec l’ensemble de l’équipe, jusqu’à leur finalisation ».

Ce pôle d’assistance offre un espace qui permet à chaque victime d’être écoutée, renseignée et rassurée. Apporter de l’humanité là où l’accident a pu la mettre à mal est l’une de nos valeurs.

« Des liens parfois forts se tissent avec certaines personnes. »

Margot PONCET - Assistante juridique

Margot PONCET

Secrétaire

« Je travaille pour quelque chose qui a du sens »

Margot Poncet est la secrétaire du cabinet JAC. Un poste qu’elle affectionne particulièrement car il correspond à sa volonté d’aider son prochain et d’occuper un emploi utile et à dimension humaine.

Retrouver Margot Poncet au poste de secrétaire dans un cabinet d’avocats pourrait surprendre de prime abord au vu de son parcours d’étude, « une première année de sociologie puis une licence en psychologie ».

De beaux bagages mais pas encore le déclic pour Margot, « puisque je souhaitais travailler dans la relation d’aide mais également pouvoir mesurer concrètement l’impact de ce que je fais au quotidien, m’orienter vers le droit m’a paru être une évidence. J’ai donc réalisé une licence professionnelle en droit social. Cependant mon premier poste se trouvait être en droit de l’urbanisme. Je suis donc partie en quête d’un autre cabinet travaillant dans un domaine en relation avec l’humain ».

« Je travaille pour quelque chose qui a du sens »

Depuis qu’elle a rejoint le cabinet JAC Margot a trouvé ce qu’elle cherchait « auparavant j’allais au travail pour gagner ma vie. Là je viens pour quelque chose qui a du sens, j’avais vraiment en moi cette volonté d’aider et de travailler au service des personnes »

Margot a ainsi découvert le droit des victimes d’accidents et apprécie « de participer au bon fonctionnement du cabinet et savoir ainsi que les victimes sont accompagnées au mieux »